Playmobil continue de développer sa collaboration avec différents constructeurs automobiles ! Après Porsche, Mercedes, Mini ou encore Volkswagen et Aston Martin, c’est cette fois Citroën qui est concernée ! Et pour inaugurer cette association, c’est un véritable mythe qui a été retenue : l’emblématique Citroën 2 CV. Celle-ci sera revêtue d’un élégant bleu clair, avec les phares ronds et les portes avant à ouverture « classique ». On retrouvera tous les gimmicks de la deuche avec notamment ses boucliers avant et divers autocollants qu’il sera possible d’appliquer. On appréciera aussi le toit rétractable, permettant de faire entrer les personnes à son bord. Précisons qu’il semblerait que le coffre soit ouvrant. Si l’on se réfère à cette unique visuel, récupéré par un certain Alexander K., il y aura trois personnages fournis : un gendarme en tenue d’époque, un fermier avec un cochon et deux oies et enfin une conductrice.
Ce superbe set incluant la Citroën 2 CV Playmobil sera dévoilé en février 2023. Nul doute que celui-ci sera un succès absolu. Nul doute aussi que nous aurons le plaisir de vous le faire découvrir sur la chaîne YouTube Mini PDLV. Il sera même possible d’intervertir les optiques, en jaune ou en blanc ! Portant la référence 70640, ce set séduira les petits comme les grands et c’est bien là tout le génie de Playmobil, qui surfe aussi sur la nostalgie. Quant au prix de vente, on peut l’estimer autour des 50 €. Affaire à suivre…
Le décret n°2022-1168 du 22 août 2022 vient prolonger jusqu’au 31 décembre 2022 l’aide exceptionnelle aux carburants dont l’arrêt était prévu pour le 31 août (et initialement le 31 juillet).
Ces aides concernent toujours tous les publics, et s’appliquent à pratiquement tous les types de carburants. Dont notamment : « gazoles B0, B7, B10, B30, B100 et XTL, y compris pour les utilisations non routières (GNR), essences SP95/98-E5, SP95-E10, GPL-c, GNV sous forme comprimée (GNC) ou liquéfiée (GNL), superéthanol E85, éthanol diesel ED95 ». Le nouveau décret précise également les montants des aides à l’acquisition de carburants d’origine pétrolière, les majorant jusqu’à fin octobre afin de « limiter l’impact des prix élevés des produits pétroliers résultant du contexte international ».
Ainsi, dès le 1er septembre, le montant de l’aide hors taxes passe à 0,25 euro/l (soit 0,10 euro HT de plus) pour les gazoles et essences ainsi que le GPL (soit 48,55 euros/100 kg net pour le GPL) jusqu’au 31 octobre 2022. Il est ensuite minoré à 0,0833 euro/l pour la période allant du 1er novembre au 31 décembre (soit 16,18 euros/100 kg net pour le GPL). Quant au gaz naturel, l’aide HT s’élèvera à 0,35 euro/kg (25 euros/MWh PCS, soit + 10 euros HT) jusqu’au 31 octobre 2022, puis descendra à 0,1166 euro/kg (8,33 euros/MWh PCS, PCS correspondant au pouvoir calorifique supérieur).
Des aides pour les exploitants de stations-service
Le décret prévoit des aides supplémentaires à destination des exploitants de stations-service en difficulté. Mais des conditions d’éligibilité s’imposent. En effet, les exploitants ayant vendu « moins de 500 hectolitres de carburants au total par mois en moyenne sur l’année 2021 » pourront bénéficier d’un coup de pouce de 3 000 euros. Alors qu’une somme plus conséquente, de 6 000 euros, reviendra aux exploitants ayant vendu « plus de 500 hectolitres, mais moins de 1 000 hectolitres de carburants au total par mois en moyenne sur l’année 2021 ».
Une manière d’amortir les pertes pour les stations-service, affectées par les ristournes sur les carburants. Précisons qu’il revient à l’exploitant de faire la demande pour cette aide complémentaire, qu’il devra adresser à l’Agence de services et de paiement avant le 31 décembre 2022.
Parmi les radars fixes qui pullulent sur notre territoire, ceux installés aux feux tricolores font souvent l’objet d’un questionnement de la part des conducteurs. Si je passe au feu orange au volant de mon véhicule, le flash se déclenche-t-il ? Réponse.
Un conducteur ne pense pas souvent aux radars installés aux feux tricolores des routes de notre territoire. D’abord, parce qu’ils ne sont pas précédés d’un panneau de signalisation mais également parce qu’ils sont nettement moins nombreux que les radars fixes qui contrôlent la vitesse. Néanmoins, il y aurait environ 900 appareils de ce type disséminés en France, lesquels veillent donc en permanence au strict respect du non franchissement du feu rouge d’un véhicule, en relative toute discrétion.
Contrôle en deux temps
Installés sur un mât à trois mètres de haut, ces boitiers radars, marchant de concert avec des capteurs magnétiques installés sur la chaussée, sont d’abord mis en service à des points stratégiques, tels que près des écoles, des carrefours dangereux, des intersections, etc. Concrètement, un radar « de feu rouge » fonctionne de la manière suivante :
Une première photo est prise durant la phase rouge et alors que le véhicule a débuté le franchissement de la première ligne dite d’effet des feux, au droit de laquelle un véhicule est tenu de s’arrêter.
Une seconde photo est prise, trois mètres plus loin, démontrant que le véhicule est bel et bien passé au feu rouge.
L’infraction sera alors relevée dès lors que l’intégralité du véhicule aura grillé le feu rouge (et pas seulement les roues avant) Autrement dit, si un seul flash s’est déclenché (et donc un seul cliché), aucune verbalisation ne pourra être retenue à l’encontre du véhicule du conducteur. Une contravention qui en revanche, lorsqu’elle est constatée, puis vérifiée par un agent assermenté, est lourdement sanctionnée : retrait de 4 points sur le permis de conduire et une amende de 135 euros.
Vous l’aurez compris, la Sécurité routière indique bien qu’en aucun cas, le franchissement d’un feu durant sa phase « orange » (d’une durée de trois secondes minimum en agglomération) ne peut enclencher le flash du radar. Aucune verbalisation n’est donc à craindre en cas de passage à un feu orange.
Rappelons par ailleurs que depuis la fin du déploiement de ces appareils sur les routes françaises en 2012, les PV dressés par un radar pour franchissement d’un feu rouge n’ont cessé de baisser dans notre pays : 615 801 PV en 2014, 515 043 PV en 2017… et « seulement » 353 716 infractions relevées pour l’année 2020. Des cabines de radars enfin, appelées à être remplacées par des appareils plus sophistiqués au cours des prochaines années…
Ce qu’il faut retenir
Un radar de feux tricolores est principalement installé à des endroits critiques
Un radar de feu rouge ne flashe jamais lorsqu’on passe au orange
Il faut au moins deux clichés pour qu’une infraction soit effective
Une telle infraction est passible de quatre points et 135€ d’amende
Même si le prix des carburants est à la baisse depuis quelques semaines et qu’une réduction de 30 cts offerte par l’Etat arrivera au 1er septembre, faire le plein coûte encore très cher. Voici donc nos 6 astuces simples pour consommer jusqu’à 50 % de moins.
Sauf si vous roulez au GPL ou à l’E85, faire un plein de carburant vous coûte très cher aujourd’hui,avec une note autour des 80 euros, si ce n’est davantage pour les gros réservoirs. A ce tarif incompressible, autant que ce plein dure le plus longtemps possible, en faisant en sorte d’abaisser autant que faire se peut sa consommation. Et c’est possible, avec les quelques astuces simples, et non contraignantes, que nous vous proposons.
1. L’entretien
Pour fonctionner de façon optimale, nos voitures ont besoin d’un entretien régulier. Parce que les filtres s’encrassent avec le temps, surtout si vous roulez en ville ou en atmosphère poussiéreuse, ils doivent être changés selon les préconisations du constructeur sous peine de limiter/dégrader l’alimentation en carburant et en air, ce qui induit une surconsommation. C’est particulièrement le cas pour le filtre à air qui est facile à changer soi-même, et n’est vraiment pas une pièce onéreuse (quelques dizaines d’euros en général). Idem pour l’huile qui, si elle n’est pas vidangée régulièrement (entre 20 000 et 30 000 km en général) finit par perdre de son pouvoir de lubrification, ce qui fait augmenter les frottements internes au moteur, et donc là aussi augmenter les consommations. Petite précision : ne pas oublier de changer le filtre à huile à chaque vidange, car lui aussi s’obstrue avec le temps.
Gain de consommation potentiel : quelques pourcents
2. Bien gonfler ses pneus
Les pneus sont souvent considérés comme une contrainte par les automobilistes qui les trouvent chers à remplacer, et pénibles à gonfler. Mais puisque les pneus sans air n’existent pas pour nos autos et que nos gommes sont responsables de 20 % de la consommation de nos voitures, autant soigner et vérifier leur gonflage une fois par mois. Car il y a là du carburant à économiser puisqu’une pression inférieure de 0,5 bars à la valeur préconisée par le constructeur – ce qui reste invisible à l’œil nu – fait augmenter la consommation de 0,3 à 0,5 l/100 km, comme nous l’avions mesuré lors d’un essai ! Pour gagner encore quelques décilitres de carburant, on peut aussi utiliser en permanence les pressions données pour l’autoroute (en général +0,2 bars). C’est complètement sans danger et cela minimise la résistance au roulement des pneus, au prix d’une toute petite dégradation du confort qui reste très acceptable.
Gain de consommation potentiel : 5 à 10 %.
3. Soigner l’aérodynamique
Dès que l’on dépasse 80 km/h, l’effet de freinage de l’air sur votre voiture devient important (il suffit de sortir la main par la fenêtre pour s’en apercevoir), et ce phénomène croît avec le carré de la vitesse. D’où l’importance de soigner l’aérodynamique de votre voiture, particulièrement sur les voies rapides et sur l’autoroute. C’est en grande partie pour cela (avec leur masse supérieure) que les consommations des SUV sont plus importantes que celle des berlines, lesquelles consomment autour de 10 % de moins comme nous l’avions montré lors d’une étude à grande échelle. Pensez-y si vous devez un jour changer de voiture. Si ce n’est pas le cas, soignez déjà l’aérodynamisme de votre voiture actuelle en enlevant systématiquement les barres de toit, galeries, et coffre de toit quand vous ne vous en servez pas. Idem avec les porte-vélos même si leur influence sur la consommation est moindre – mais pas nulle – grâce à leur position sur la lunette arrière ou la boule de remorquage. Enfin évitez les déflecteurs de vitres qui eux aussi font augmenter sensiblement la consommation. Sur autoroute, la climatisation est plus efficace (voir plus bas).
Gain de consommation potentiel : jusqu’à 15 %.
4. Alléger votre voiture
Dans beaucoup de voitures, il n’est pas rare de trouver tout un fatras à demeure dans le coffre, alors qu’on ne s’en sert que très occasionnellement. Si vous êtes adepte du bidon d’huile, des barres de toit et/ou de remorquage, du jeu de chaînes neige, des câbles de démarrage ou je ne sais quelles autres choses tapissant en permanence votre soute, retirez-les et ne les emportez que quand elles peuvent être indispensables, car elles vous coûtent de la consommation au quotidien ! En effet, les constructeurs considèrent après essais, que 50 kg de plus dans votre voiture entraînent l’émission de 5 g de CO2 en plus pour chaque kilomètre parcouru, ce qui équivaut à 0,15 à 0,2 l/100 km de plus en matière de consommation !
Gain de consommation potentiel : quelques pourcents
5. Utiliser au mieux la climatisation
La climatisation est un organe qui peut consommer beaucoup de puissance – jusqu’à plus de 10 ch par des températures de 30°C – et donc potentiellement faire grimper franchement votre consommation. Nous n’allons bien sûr pas vous dire de ne pas l’utiliser, d’autant que l’augmentation de la surface des vitrages sur les voitures modernes tend à les transformer en de véritables serres l’été. Mais quelques astuces permettent de bien utiliser la clim pour limiter la surconsommation. Première chose, soyez raisonnables sur la consigne de température. Un réglage à 21, 22 ou 23°C donne généralement une ambiance confortable, et demander la température minimale les premières minutes à une clim’ automatique ne fait que souffler plus fort et plus longtemps la ventilation, mais ne produit pas plus de froid. Garez-vous évidemment à l’ombre autant que possible, et n’oubliez pas d’installer un grand pare-soleil de parebrise doté d’un revêtement réfléchissant car c’est par cette surface importante et inclinée que vont rentrer la majorité des rayons du soleil, et ainsi chauffer beaucoup votre habitacle. Si vous avec un toit ouvrant vitré, n’oubliez pas non plus de fermer le volet occultant, qui fera lui aussi gagner beaucoup de degrés. Enfin si vous changez de voiture, n’oubliez pas qu’entre une couleur claire (blanc, gris clair…) et une foncée, il peut y avoir une différence de 15°c à l’intérieur d’une voiture stationnée au soleil.Au moment de démarrer votre voiture surchauffée, coupez la clim’, ouvrez en grand toutes les fenêtres, ainsi que le toit ouvrant si vous en avez un, et roulez ainsi quelques centaines de mètres.Cela va faire baisser très vite la température interne de votre habitacle, bien plus vite en tout cas que ne l’aurait fait la clim, et cela lui évitera de fonctionner à fond pendant plusieurs minutes, ce qui aurait fait grimper fortement la consommation sur les premières minutes, une surconsommation qui peut alors atteindre +3 l/100 km en usage ville ! Dès que l’habitacle est à peu près redescendu en température, fermez les fenêtres et toit ouvrant, et réenclenchez la clim qui fonctionnera alors sur un niveau de puissance bien plus raisonnable. En ville, quand il ne fait pas trop chaud, c’est-à-dire sous les 30°C, ouvrir les vitres permet de conserver une température supportable à bord sans enclencher la climatisation. Ce qui est appréciable en termes de consommation. En revanche, sur route et plus encore sur autoroute, ouvrir les fenêtres n’est pas une bonne solution car cela dégrade l’aérodynamisme et fait surconsommer autant qu’avec une clim’ enclenchée (autour de + 0,3 à 0,5 l/100 km selon les températures). Mettez donc plutôt la climatisation qui vous permettra de rouler avec infiniment moins de bruit, et un air plus sec et agréable.
Gain de consommation potentiel : jusqu’à 10 %.
6. Soignez votre conduite
Cette dernière astuce est certainement la plus importante car votre style de conduite est le facteur d’ordre 1 sur la consommation. Bien sûr, la vitesse à laquelle vous roulez est assez directement liée à la consommation, notamment sur autoroute où il y a peu de freinage/accélérations. Mais c’est à chacun de choisir sa vitesse, et on ne va pas vous conseiller de rouler à 110 km/h sur les autoroutes où l’on paie très cher pour raccourcir en temps ses trajets. En revanche, dans tous les autres usages, il est possible d’économiser notablement avec quelques astuces finalement assez simples. A chaque fois que l’on freine, on dissipe en chaleur dans les freins une partie de l’énergie cinétique de sa voiture, et il faut ensuite réaccélérer, ce qui est la phase où un moteur consomme le plus. L’idée est donc de freiner le moins possible, ou le moins fort possible, et donc d’an-ti-ci-per en regardant loin devant. Si une voiture devant à quelques dizaines de mètres ralentit, ou qu’un feu est rouge au loin, le mieux est de lever le pied de l’accélérateur le plus tôt possible car votre moteur ne consomme rien lors des décélérations (injection coupée), et vous réaccélérerez moins fort ensuite, surtout si le feu passe au vert entre-temps. Mettre sa voiture au point mort est bien moins efficace que rester en prise, car un moteur consomme du carburant au ralenti, mais pas en décélération. Si votre voiture est équipée d’un système start-stop, laissez-le actif car cela fait gagner quelques décilitres en ville. Si elle n’en est pas équipée, vous pouvez couper manuellement votre moteur au feu (on considère que c’est efficace pour des arrêts de plus de 15 s), mais attention si vous le faites de façon très intensive car cela fera vieillir plus vite votre batterie et votre démarreur qui ne sont pas prévus pour. Enfin, quand vous devez accélérer, oubliez la manière extrêmement douce. Les moteur modernes consomment moins si vous accélérez franchement – entendez mi-pédale d’accélérateur, et non pied à fond – jusqu’à la vitesse à atteindre, et passez ensuite très vite sur les rapports les plus élevés, sans toutefois rester en sous-régime, c’est-à-dire trop en dessous de 1 500 tr/mn. Dans le même esprit, relâchez l’accélérateur dans les descentes marquées (zéro consommation dans ce cas), et réaccélérez progressivement un peu avant le bas de la descente, ce qui permettra de profiter encore de cette dénivellation pour reprendre de la vitesse à moindre coût avant une éventuelle montée.
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